Depuis la nuits des temps, les peuples et civilisations qui ont peuplés notre planète, ont utilisés l'aloe vera pour ses bienfaits sur notre organisme.
De toute les variété d'aloes, l'aloe vera est la plus riche. Composée de plus de 70 nutriments dont 20 minéraux, 18 acides aminés et 12 vitamines, l'aloe vera est donc dotée de propriétés essentielles et exceptionnelle. Qu'elle soit administrée par voie interne ou externe, l'aloe vera apporte ses bienfaits à votre organisme.
L'aloe vera dans les anciennes civilisations :
L’aloès ou "Plante de l'immortalité" pour les grands prêtres de l'ancienne Egypte, est une plante connue, au moins depuis l'Antiquité sur tous les territoires occupés du monde.
On trouve les premières traces d'usage thérapeutique de l'aloe vera chez les Sumériens, ensuite ce sont les Egyptiens qui l'utilisèrent et la baptisèrent la "Plante de l'immortalité", puis ce fût le tour des Chinois d'expérimenter l'aloe vera, et après les Juifs, les Grecs, les Romains et les Indiens d'Amérique.
Petite anecdote : Alexandre conquit l'île de Socotra non pas par stratégie, mais pour pouvoir distribuer assez de feuilles d'aloe vera à ses armées.
L'aloe vera et la médecine :
En 1851, Smith et Stenhouse identifièrent un principe actif, l'aloïne, c'est à celui ci que l'on prêta l'ensemble des vertus purgatives de l'aloe vera.
Mais, en 1912, Johnstone découvrit que la pulpe d'aloe vera arrivait également à guérir les brûlures
En 1930, Collins prouva que l'aloe vera avait la capacité de dimuner les conséquences des radiations.
Dès lors, le monde médical et scientifique s'interressa tout particulièrement à la composition chimique de l'aloe vera.
En 1938, Chopia et Gosh isolèrent les principaux éléments actifs de la plante.
En 1942, Stockton stabilisa le gel de l'aloe vera et mit au point une excellente resine pour lutter contre les brûlures.
Et en 1959, Coats réussi à stabiliser la pulpe fraiche de l'aloe vera, et ce, par un procédé naturel.
Petite anecdote : L'aloe vera a eu du succès en Amérique, depuis que les scientifiques ont pu constater que la plupat des survivants des attaques d’Hiroshima et de Nagasaki, étaient ceux qui avaient soigné leur peau avec un gel à l'aloe vera et avaient bu un jus préparé de façon spécifique. Le nombre de cancers de la peau chez les Japonais était inférieur au pronostic probable lors d'une attaque nucléaire d'une telle envergure.